Pétition : L214 positionnez-vous publiquement et clairement contre toute forme de zoophilie

Lien de la pétition : http://liencs.fr/93h

Cette pétition a de nouveau été censurée, cette fois par Avaaz et bien sûr suite aux plaintes mensongères des fanatiques de L214 ou de L214 elle-même.

P.S. : Je relance cette pétition car la première a été supprimée suite à l’intervention de L214 auprès du site qui l’hébergeait – Lapetition.be – (vive l’intimidation, la menace, l’autoritarisme). L214 est en procès en ce moment avec des éleveurs qui l’accusent d’atteinte à la vie privée. L’association dit sur son site: « « Les images de ces deux élevages sont sans appel. La réglementation n’y est pas respectée et les animaux sont dans un état absolument pitoyable. Aujourd’hui, on nous interdit de montrer ces images en prétextant une atteinte à la vie privée des éleveurs ! Nous estimons qu’il serait légitime qu’elles soient portées à la connaissance des consommateurs. L’interdiction de diffusion de ces photos et vidéo menacent la liberté d’information et d’expression. En tant que lanceurs d’alerte, nous ferons tout pour obtenir l’autorisation les dévoiler au public » déclare Brigitte Gothière, porte-parole de l’association. » Ainsi, face aux éleveurs, L214 se déclare victime et réclame son droit d’expression et son statut de lanceur d’alerte. Mais face à mes critiques sur sa position sur la zoophilie, L214 veut m’interdire le droit à l’expression et le statut de lanceur d’alerte. Très cohérent tout ça, n’est-ce pas ?! Finalement, L214 utilise les mêmes méthodes d’intimidation que ceux qu’elle combat car elle essaie de faire taire la critique en menaçant de traîner en justice tous ceux qui osent la faire. Malgré tout, moi je soutiens, en principe (et pas sur l’illégalité) L214 sur le sujet des vidéos car les gens devraient pouvoir avoir accès à ce qu’il se passe dans les abattoirs. Pourtant, contrairement aux vidéos de L214, mes preuves ne sont pas obtenues sans autorisation et elles respectent la loi. Et le comble c’est que L214 dit s’opposer à moi au nom des animaux alors même qu’elle n’ose pas dire publiquement qu’elle refuse toute sorte de zoophilie (violente ou pas) qui, nous le savons à peu près, doit concerner des milliers d’animaux : http://blogs.lexpress.fr/sexpress/tag/zoophilie/ et

http://www.guineeweb.org/article-zoophilie-une-realite-cachee-103225816.html.

Donc quand j’entends les défenseurs fanatiques de L214 dire que ce n’est pas un vrai sujet ni un sujet important je me demande s’ils auraient dit la même chose sur les relations sexuelles concernant les enfants. Sûrement pas, et c’est la preuve qu’ils sont encore et toujours spécistes et qu’ils considèrent toujours que le viol ou l’agression sexuelle d’un animal ne sont pas très graves…

L214 et ses propos très ambigus sur la zoophilie

L’association L214 ne semble pas voir de problème à la zoophilie (si la relation sexuelle est sans violence…) : lien 1 et lien 2. J’ai rapidement écrit pourquoi je m’y opposais sans exception : lien 3.

L’association L214 a tort sur un double plan. D’abord, sur le plan légal, car la zoophilie est interdite par la loi française car elle est considérée comme un abus en soi : lien 4. Ensuite, sur un plan moral car vu le pouvoir de domination des humains sur les autres animaux, rien ne peut assurer que les relations sexuelles inter-espèces pourraient être bénéfiques aux animaux.

Je considère qu’il est absolument inadmissible, immoral (domination) et complètement irresponsable d’avoir des propos aussi ambigus, surtout quand on prétend défendre les animaux.

Je vous invite donc à exprimer votre opposition pour que cette association cesse de se rabaisser et surtout de présenter un risque pour les animaux qu’elle est censée protéger et pour qu’elle s’exprime publiquement sur le sujet – en revoyant bien sûr sa position – .

Comment agir :

1. Signez la pétition : lien 5.

2. Écrivez à L214 : lien 6.

3. Postez un message sur leur page Facebook : lien 7.

4. Éventuellement (si leur réponse n’est pas satisfaisante) cessez de les soutenir financièrement.

La lutte pour les droits des animaux passe par le respect total de leur intégrité physique. Les animaux ne sont pas là pour satisfaire nos désirs sexuels.

La zoophilie est incompatible avec le véganisme et avec le respect des animaux

Une « grande » association française pour la défense des animaux a dernièrement tenu des propos ambigus sur la zoophilie (en laissant entendre que s’il n’y avait pas de violence, il n’y aurait pas de problème). Je donne à qui le veut la preuve, mais pour l’instant je ne le fais pas publiquement, car on va encore me dire que je tire sur l’ambulance, et je suis un peu sensible en ce moment… Enfin.

Qu’est-ce que la zoophilie ? C’est la relation sexuelle avec un animal. Comment et dans quelles conditions pourrait-elle avoir lieu ? Comment pourrions-nous nous assurer du consentement éclairé de l’animal (des animaux) en question ? Et, dans le cas contraire, comment l’animal (les animaux) en question pourraient-ils déposer plainte ? Cette association, qui relaie le welfariste (on peut tuer les animaux mais gentiment) Peter Singer me semble considérer que la zoophilie est acceptable à partir du moment où les animaux non-humains sont les égaux des animaux-humains. S’il suffisait de cela, on pourrait aussi autoriser la pédophilie car les enfants humains sont égaux en droits fondamentaux aux adultes humains. Sauf que, et c’est ce qui compte, les enfants humains n’ont pas le discernement nécessaire pour faire ce genre de choix. On part du principe que les animaux non-humains non plus, puisqu’on ne pourra pas en avoir la certitude qu’ils l’aient. Tout humain qui a une relation sexuelle avec un animal abuse de cet animal et rien ne peut prouver le contraire.

Les conditions : pour avoir une relation sexuelle avec un animal, il faut que l’animal soit « à disposition » car il n’y a pas de lieux de rencontre zoophiles. L’animal est donc, en principe, la propriété de l’humain en question. Normalement, ceux qui défendent les animaux s’opposent à ce que ceux-ci soient des propriétés ou à ce qu’ils soient à la disposition des humains. Si les animaux ne sont plus nos propriétés, comment les rencontrerons-nous pour avoir des relations sexuelles avec ? Et quand nous les rencontrerons, quelle preuve aura la justice que l’acte n’a pas été forcé ? Si les animaux sont libres, une rencontre fortuite entre un animal-humain et un animal non-humain pourra donner lieu à une relation sexuelle. Pour prouver que cet animal n’a pas subi un viol, que fera la justice ? Elle traquera tous les animaux libres et les inspectera ? Vous voyez, cela est donc ridicule. Nous ne pourrons avoir aucune assurance que les animaux non-humains veuillent avoir des relations sexuelles avec nous et que cela leur fait du bien. Par conséquent, autoriser cela c’est les exposer à toute sortes d’abus. L’association et l’auteur qui semblent prendre position en faveur de la zoophilie (ou du moins ne condamner que la zoophilie violente) ne sont pas, dans ce cas, en train de défendre les animaux non-humains mais de préparer un stock de victimes sexuelles aux humains zoophiles.

Je prie cette association de refuser publiquement que le viol et les abus zoophiles soient considérés comme une relation sexuelle entre adultes consentants.

Au Mouvement végan et à Leur vie ne nous appartient pas nous nous opposons fermement à toute forme de zoophilie et d’utilisation des animaux non-humains.

Ce n’est pas une menace, j’ai passé l’âge, mais une promesse : sans parti pris clair et sans ambiguïté contre la zoophilie (fût-elle « douce ») de la part de cette association je lancerai une pétition publique avec preuve à l’appui pour la forcer à revenir sur ses propos irresponsables et profondément spécistes.

A bientôt