
Bardot est contre le véganisme (qui est quand même la moindre des choses à faire pour les animaux nonhumains), donc elle revendique le fait d’exploiter et tuer des animaux (c’est ça aussi le lait, les œufs, le fromage… voir ici et ici). Elle trouve que le véganisme (c’est à dire le refus d’exploiter et faire tuer les animaux) est extrême.
Source : http://www.europe1.fr/people/brigitte-bardot-mes-larmes-cest-mon-arme-pour-aller-au-combat-3583490
Ensuite, Bardot est une délinquante multirécidiviste condamnée 5 (cinq) fois par la Justice.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Brigitte_Bardot#Controverses_et_condamnations_judiciaires
C’est donc très problématique de faire d’une spéciste (elle fait exploiter et tuer certains animaux) d’extrême-droite (ses propos à l’égard des étrangers et son amour réitéré à Marine Le Pen) une icône de la cause animale. Certes, elle s’est battue pour certains animaux qu’elle trouve mignons, mais on se demande si c’est pour eux qu’elle s’est battue ou pour elle. La justice exige que TOUS les animaux nonhumains, même ceux que l’on ne trouve pas « mignons », aient le droit de vivre et d’être libres.
Si certaines personnes ont absolument besoin d’une icône (ce qui pose déjà quelques soucis d’indépendance intellectuelle et d’autonomie mais bon), elles peuvent se trouve quelqu’un de plus cohérent et de moins polémique.
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