La pétition à signer se trouve ici : http://www.petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2013N44225
Défendre les animaux c’est aussi les protéger des abus sexuels !
La pétition à signer se trouve ici : http://www.petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2013N44225
Défendre les animaux c’est aussi les protéger des abus sexuels !
Lien de la pétition : http://liencs.fr/93h
Cette pétition a de nouveau été censurée, cette fois par Avaaz et bien sûr suite aux plaintes mensongères des fanatiques de L214 ou de L214 elle-même.
P.S. : Je relance cette pétition car la première a été supprimée suite à l’intervention de L214 auprès du site qui l’hébergeait – Lapetition.be – (vive l’intimidation, la menace, l’autoritarisme). L214 est en procès en ce moment avec des éleveurs qui l’accusent d’atteinte à la vie privée. L’association dit sur son site: « « Les images de ces deux élevages sont sans appel. La réglementation n’y est pas respectée et les animaux sont dans un état absolument pitoyable. Aujourd’hui, on nous interdit de montrer ces images en prétextant une atteinte à la vie privée des éleveurs ! Nous estimons qu’il serait légitime qu’elles soient portées à la connaissance des consommateurs. L’interdiction de diffusion de ces photos et vidéo menacent la liberté d’information et d’expression. En tant que lanceurs d’alerte, nous ferons tout pour obtenir l’autorisation les dévoiler au public » déclare Brigitte Gothière, porte-parole de l’association. » Ainsi, face aux éleveurs, L214 se déclare victime et réclame son droit d’expression et son statut de lanceur d’alerte. Mais face à mes critiques sur sa position sur la zoophilie, L214 veut m’interdire le droit à l’expression et le statut de lanceur d’alerte. Très cohérent tout ça, n’est-ce pas ?! Finalement, L214 utilise les mêmes méthodes d’intimidation que ceux qu’elle combat car elle essaie de faire taire la critique en menaçant de traîner en justice tous ceux qui osent la faire. Malgré tout, moi je soutiens, en principe (et pas sur l’illégalité) L214 sur le sujet des vidéos car les gens devraient pouvoir avoir accès à ce qu’il se passe dans les abattoirs. Pourtant, contrairement aux vidéos de L214, mes preuves ne sont pas obtenues sans autorisation et elles respectent la loi. Et le comble c’est que L214 dit s’opposer à moi au nom des animaux alors même qu’elle n’ose pas dire publiquement qu’elle refuse toute sorte de zoophilie (violente ou pas) qui, nous le savons à peu près, doit concerner des milliers d’animaux : http://blogs.lexpress.fr/sexpress/tag/zoophilie/ et
http://www.guineeweb.org/article-zoophilie-une-realite-cachee-103225816.html.
Donc quand j’entends les défenseurs fanatiques de L214 dire que ce n’est pas un vrai sujet ni un sujet important je me demande s’ils auraient dit la même chose sur les relations sexuelles concernant les enfants. Sûrement pas, et c’est la preuve qu’ils sont encore et toujours spécistes et qu’ils considèrent toujours que le viol ou l’agression sexuelle d’un animal ne sont pas très graves…
Je sens que mon dernier article (lien 1) mérite quelques mises au point. Cela non pas parce que l’argumentation des contradicteurs est pertinente, mais parce que cela suffit de jouer avec l’objectivité et l’honnêteté intellectuelle comme bon nous semble !
1. Le 8 janvier 2013 quelqu’un publie un message sur le mur Facebook de L214 (lien 2) en leur demandant de se positionner contre la zoophilie. Il s’en suit un long débat (dont voici la copie pdf : lien 3) dans lequel L214 intervient deux fois pour dire :
« Nous avons la même position qu’Ingrid Newkirk, présidente de PETA :
« « Peter Singer est un intellectuel, par conséquent il ne raisonne pas en noir et blanc. Il regarde les zones grises entre les deux. »
Ingrid Newkirk souligne qu’aussi bien Singer qu’elle-même condamnent absolument et sans la moindre équivoque toute recherche de plaisir sexuel avec les animaux impliquant la violence, la contrainte ou la peur. » » et
« L214 s’oppose évidemment à toute violence sur les animaux (qu’ils soient humains ou non humains). Le viol est un acte violent par définition.
Nous ne souhaitons pas perdre davantage de temps avec des personnes qui ne cherchent que la polémique. »
Il ne faut pas être expert en communication pour comprendre que condamner « sans la moindre équivoque toute recherche de plaisir sexuel avec les animaux impliquant la violence, la contrainte ou la peur » veut, à l’inverse, dire que la recherche de plaisir sexuel qui n’implique pas la violence, la contrainte ou la peur est acceptable ou tolérable. Osez lire autre chose. Pour voir l’énormité du propos, je vous propose une expérience de pensée : remplacez « animaux » avec « enfants » et dites-moi si la phrase n’est pas inadmissible. Et si elle est inadmissible avec « enfants » elle doit l’être avec « animaux ». Dans ses deux intervention L214 condamne les relations sexuelles avec des animaux seulement s’il y a violence, contrainte ou peur. C’est clair, c’est limpide.
2. Le lundi 19 août 2013 j’écris à L214 et je leur fais comprendre que je connais leurs propos sur la zoophilie. Je leur demande de prendre les choses en main et de dire publiquement qu’ils sont contre car il faut de la clarté. L214 ne daigne pas me répondre, jusqu’à ce que je publie, le 25 août 2013, son nom. Et là je reçois le mail que je vous copie :
« Cristi,
Vos accusations sont délirantes. L214 est bien sur opposé à la zoophilie.
L214 le précise par deux fois dans le fil de discussion Facebook dont vous avez soigneusement sélectionné les copies d’écran.
Prétendez-vous aider les animaux en cherchant à empêcher L214 de travailler? Nous vous demandons de retirer toutes vos publications diffamatoires. Ne nous obligez pas à confier cette affaire à notre avocat, les animaux n’ont absolument pas besoin de cette perte de temps.»
2. Je réponds que la menace du procès c’est de l’intimidation et que cela ne marchera pas, on ne fait pas taire les « rumeurs » en menaçant. Je leur redemande de prendre publiquement et sans ambiguïté position contre la zoophilie (avec ou sans violence). Pas de réponse à mon mail mais depuis ils copient partout la même faible réponse : « L214 s’oppose évidemment à la zoophilie. Nous vous demandons de retirer toutes vos publications diffamatoires. Ne nous obligez pas à confier cette affaire à notre avocat, les animaux n’ont absolument pas besoin de cette perte de temps. Pour L214. » Donc, toujours pas de communiqué public dénonçant la zoophilie (même sans violence).
3. Je remarque que dans leur réponse vouloir se positionner contre la zoophilie ou demander à ce qu’on se positionne sur le sujet « est une perte de temps » dont les animaux n’ont pas besoin. Mais, jeunes gens, la zoophilie concerne les animaux puisque beaucoup sont victimes d’abus sexuels ! Une association aussi connue et aimée que L214 ne peut laisser subsister le doute et ne peut surtout pas faire croire que ce sujet ne concerne pas les animaux. Il faut accepter la critique. Ainsi, tout ce que je demande c’est une prise de position publique contre la zoophilie. Cette prise de position je la demande au nom des droits des animaux car personnellement, je n’ai rien à gagner. Mais j’observe que L214 et tous les gens qui m’insultent ont perdu de vue l’objectif qui est, je le répète, les droits des animaux. A lire certains, on se demande si c’est les animaux qu’ils défendent ou une association. Se positionner contre la zoophilie c’est défendre les animaux. C’est ce que j’attends de L214. L’association ne sortira que grandie de ce positionnement public, mais son service de communication est tellement amateur qu’ils préfèrent menacer au lieu de s’exprimer et faire cesser la polémique. S’exprimer publiquement contre la zoophilie rend service aux animaux. M’insulter parce que je demande cela (enfin, parce que je force, puisque je l’ai déjà demandé sans réponse…) c’est défendre autre chose que les animaux, c’est défendre une structure. Chers gens, là, en ce moment, vous faites comme n’importe quel fanatique qui oublie son but mais qui est prêt à tout pour défendre son parti, sa religion, sa secte etc. Si votre but c’est la défense et les droits des animaux, la seule chose à faire c’est de demander à L214 de s’exprimer publiquement contre la zoophilie avec ou sans violence ! N’oubliez pas la cause pour des querelles provoquées par votre attachement irrationnel à une association. Personne n’est intouchable et sur ce sujet L214 a fauté par son ambiguïté. Soit vous prenez sa défense (au nom de quoi ?) soit vous vous placez du côté des animaux (je parle bien du sujet « zoophilie » et pas d’autre chose).
3. Je reçois plein de messages d’insulte et je me fais supprimer de certains groupes Facebook dont « Végétariens, végétaliens et omnis en conversion ». Non pas que cela me touche personnellement, mais je suis quand même inquiet de l’état de la réflexion de certains et de leur capacité à regarder les choses avec objectivité. J’ai même reçu des insultes zoophiles, c’est pour dire…
Pour combattre le spécisme nous devons être objectifs et non pas réagir avec autant d’émotivité irrationnelle. Il faut analyser les sujets et y réfléchir sans parti pris. Et il faut aussi regarder qui dit quoi, cela pourrait éviter qu’on me traite moi, président d’une des rares associations véganes abolitionnistes de France (ce n’est pas une fierté, c’est un fait) de je ne sais quoi et qu’on me soupçonne de toute sorte de choses. Mon association se bat depuis plus de trois ans contre toutes les discriminations (humaines ou animales) et en particulier le spécisme. Si je trouve qu’il est nécessaire qu’une autre association prenne position contre la zoophilie c’est au nom des animaux que je le fais. Si vous comprenez autre chose, je crois que le problème ne vient plus de moi !
4. Que certains ne profitent pas de leur lecture partisane de mon article pour faire encore une fois la chasse aux anti-fascistes de la cause animale. J’ai parlé en mon nom, je suis assez grand pour l’assumer (contrairement à tous ceux qui m’insultent sans me laisser leur nom) et non pas au nom de l’anti-fascisme végan. L’anti-fascisme, en tout cas, n’est pas une tare, mais une position morale et politique respectable car libératrice.
5. Je suis surpris de l’ampleur de la mauvaise foi de certains. Mais pas tant que ça finalement. Quand certains sont capables d’excuser le racisme de Bardot parce qu’elle défend les bébés phoques, on comprend qu’ils puissent insulter les gens sans même tenter de comprendre de quoi il s’agit. Mais ce de quoi je suis le plus surpris c’est du silence assourdissant de certains qui, généralement, sont en première ligne quand il s’agit de lutter contre toutes les discriminations. Sur ce coup, pas grand-monde pour oser se lever contre L214. Que dis-je « se lever contre » ? Car je m’en fiche de L214, ce que je veux c’est que les animaux soient respectés. Donc, pas grand-monde pour prendre parti pour les animaux si cela implique de critiquer L214. Ça, c’est plus grave. Et c’est aussi la preuve que là-dedans, mon intérêt est quasi nul vu l’absence de soutien que j’ai. Mais je persiste puisque le but c’est les droits des animaux et pas les droits de Cristi Barbulescu ou les droits de L214 !
Ainsi j’aimerais bien que tout le monde voie le vrai problème qui n’est pas mon attaque (elle n’a rien de personnel) mais l’ambiguïté inacceptable de L214 sur un sujet très important et qui concerne les animaux !
6. Pour finir, je le redis, je demande une nouvelle fois à L214 de prendre publiquement et clairement parti contre la zoophilie (fusse-t-elle violente ou pas) sous toutes ses formes possibles et imaginables. Si ce n’est pas fait, je ne fais aucun correctif à ma prise de position. Je laisse, malgré tout, vos commentaires sous mes publications comme des sortes de « droit de réponse ». Mais ils ne sont pas suffisants. Rien ne vaut une mise au point publique. Si cela ne vous va pas et que vous souhaitez rentrer dans des poursuites judiciaires parce que j’ai osé pointer votre incohérence et votre ambiguïté et, qu’au lieu de payer pour combattre le spécisme vous utilisez l’argent de vos militants pour combattre une personne végane antispéciste, on se voit au tribunal les amis. Je pense qu’on pourra bien s’amuser.
Merci à tous ceux qui soutiennent ma démarche et qui ont compris que l’intérêt des animaux doit être au dessus des intérêts personnels ou associatifs.
L’association L214 ne semble pas voir de problème à la zoophilie (si la relation sexuelle est sans violence…) : lien 1 et lien 2. J’ai rapidement écrit pourquoi je m’y opposais sans exception : lien 3.
L’association L214 a tort sur un double plan. D’abord, sur le plan légal, car la zoophilie est interdite par la loi française car elle est considérée comme un abus en soi : lien 4. Ensuite, sur un plan moral car vu le pouvoir de domination des humains sur les autres animaux, rien ne peut assurer que les relations sexuelles inter-espèces pourraient être bénéfiques aux animaux.
Je considère qu’il est absolument inadmissible, immoral (domination) et complètement irresponsable d’avoir des propos aussi ambigus, surtout quand on prétend défendre les animaux.
Je vous invite donc à exprimer votre opposition pour que cette association cesse de se rabaisser et surtout de présenter un risque pour les animaux qu’elle est censée protéger et pour qu’elle s’exprime publiquement sur le sujet – en revoyant bien sûr sa position – .
Comment agir :
1. Signez la pétition : lien 5.
2. Écrivez à L214 : lien 6.
3. Postez un message sur leur page Facebook : lien 7.
4. Éventuellement (si leur réponse n’est pas satisfaisante) cessez de les soutenir financièrement.
La lutte pour les droits des animaux passe par le respect total de leur intégrité physique. Les animaux ne sont pas là pour satisfaire nos désirs sexuels.