Qu’est-ce qui distingue le végétarisme et l’omnivorisme ?
Réponse : le temps. Comment ça quel temps ? Le temps qui sépare l’exploitation des animaux pour leur lait, leurs œufs etc. de leur mort pour la viande. Le végétarien est donc un omnivore attardé.
Euh non, pas vraiment…
Carnistes, ovo-lacto-végétariens (« végétariens »), végétariens stricts (« végétaliens »), etc. sont tous « omnivores » = capables de manger des végétaux, de la chair et d’autres substances d’origine animale.
Or, opter pour une alimentation carnée, ovo-lacto-végétarienne (« végétarienne »), végétarienne stricte (« végétalienne »), etc. est un choix (plus ou moins conscient) cf. CAAN et Melanie Joy, et son livre « Why We Love Dogs, Eat Pigs and Wear Cows – An Introduction to Carnism ».
Sur le site des Cahiers antispécistes (cf. http://www.cahiers-antispecistes.org/ ), il est possible de lire :
– le résumé des chapitres 2, 5, 6 et 7 : http://www.cahiers-antispecistes.org/spip.php?article400
– la traduction du chapitre 1 : http://www.cahiers-antispecistes.org/spip.php?article399 http://www.carnism.com,
Il y a aussi le livre « psycrime » (dont je n’ai pas l’adresse Internet en tête…) et la conférence de l’ex-présidente de l’AVF, Isabelle Dudouet-Bercegeay : http://question-animale.org/fr/e12/cnt/Isabelle-Dudouet-Bercegeay.html#revivre
Ainsi, on peut être omnivore (= manger de TOUT ce que l’on considère être MANGEABLE, les animaux et leurs substances peuvent donc être exclus) et avoir une alimentation 100% végétale. 🙂
Lorsque quelqu’un me dit qu’il est « omnivore » et doit manger de TOUT, je le défie de vraiment manger de TOUT : bois, caoutchouc, plastique, verre, aliments végétaux qu’il n’aime pas, ne supporte pas (allergies et intolérances), etc.
Oups :-s Stéphane m’a fait remarquer que le titre de l’ouvrage auquel je fais référence n’est pas « psycrime » (il s’agit du nom donné au fichier pdf présent sur mon ordinateur) mais « Psychologie du crime de l’exploitation animale » par Philippe Laporte. Le fichier se trouve là : http://infokiosques.net/IMG/pdf/PsyCrimeExploitationAnimale.pdf
Euh non, pas vraiment…
Carnistes, ovo-lacto-végétariens (« végétariens »), végétariens stricts (« végétaliens »), etc. sont tous « omnivores » = capables de manger des végétaux, de la chair et d’autres substances d’origine animale.
Or, opter pour une alimentation carnée, ovo-lacto-végétarienne (« végétarienne »), végétarienne stricte (« végétalienne »), etc. est un choix (plus ou moins conscient) cf. CAAN et Melanie Joy, et son livre « Why We Love Dogs, Eat Pigs and Wear Cows – An Introduction to Carnism ».
Sur le site des Cahiers antispécistes (cf. http://www.cahiers-antispecistes.org/ ), il est possible de lire :
– le résumé des chapitres 2, 5, 6 et 7 : http://www.cahiers-antispecistes.org/spip.php?article400
– la traduction du chapitre 1 : http://www.cahiers-antispecistes.org/spip.php?article399
http://www.carnism.com,
Il y a aussi le livre « psycrime » (dont je n’ai pas l’adresse Internet en tête…) et la conférence de l’ex-présidente de l’AVF, Isabelle Dudouet-Bercegeay : http://question-animale.org/fr/e12/cnt/Isabelle-Dudouet-Bercegeay.html#revivre
Ainsi, on peut être omnivore (= manger de TOUT ce que l’on considère être MANGEABLE, les animaux et leurs substances peuvent donc être exclus) et avoir une alimentation 100% végétale. 🙂
Lorsque quelqu’un me dit qu’il est « omnivore » et doit manger de TOUT, je le défie de vraiment manger de TOUT : bois, caoutchouc, plastique, verre, aliments végétaux qu’il n’aime pas, ne supporte pas (allergies et intolérances), etc.
Oups :-s Stéphane m’a fait remarquer que le titre de l’ouvrage auquel je fais référence n’est pas « psycrime » (il s’agit du nom donné au fichier pdf présent sur mon ordinateur) mais « Psychologie du crime de l’exploitation animale » par Philippe Laporte. Le fichier se trouve là : http://infokiosques.net/IMG/pdf/PsyCrimeExploitationAnimale.pdf
Marjorie : merci pour toutes ces précisions .
Il était en effet utile de compléter.