Zoophilie : amour excessif des animaux qui porte souvent à avoir des relations sexuelles avec ceux-ci.
Zoophagie : régime alimentaire basé sur la consommation d’animaux.
Notre société punit (http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000006418952&cidTexte=LEGITEXT000006070719) les relations sexuelles avec un animal car elle part du principe que celui-ci n’est pas consentant. Le viol qu’il subirait ainsi lui serait nuisible et le législateur veut l’en protéger. Et le législateur a raison car nous ne pouvons en aucun cas nous assurer du consentement de l’animal en question.
Notre société, par contre, ne punit pas la zoophagie qui consiste à enfermer, exploiter et tuer des animaux pour manger leur cadavre. Ainsi, pour le législateur il est plus grave de violer un animal que de le tuer. « Tuez les animaux mais de grâce ne les violez pas ! » semble nous dire la loi. Et, en écho à la loi, beaucoup de nos concitoyens se sentent absolument choqués par le viol d’un animal mais nullement choqués par le meurtre de celui-ci. Or, dans les deux cas, l’animal en question est une victime. Mais, diront les zoophages, nous c’est pour manger, on a besoin de manger. Certes, mais le violeur aussi a besoin de relations sexuelles, c’est son droit. Le fait est que et les uns et les autres peuvent vivre autrement et peuvent s’empêcher de nuire aux animaux.
Dans les affaires humaines, on trouve plus grave de tuer quelqu’un que de le violer. Pourquoi est-ce différent quant aux autres animaux ? Leur vie n’a-t-elle aucune valeur ? Pourquoi quelqu’un qui fait tuer des millions d’animaux par an n’encourt-il aucune peine alors que quelqu’un qui viole un seul risque de se retrouver en prison ? Mieux : pourquoi un esclavagiste (lisez éleveur) qui viole le mouton avant de le tuer et le manger n’est-il inquiété que pour le viol mais nullement pour le meurtre ? Il faudra arrêter l’hypocrisie : il est grave de violer un animal. Il est au moins tout aussi grave de le tuer gratuitement (sauf légitime défense). Que le législateur fasse son travail jusqu’au bout !
L’homme a toujours chassé pour se nourrir et cela depuis la nuit des temps.violer un animal pour assouvir un besoin non existentielle doit être sévèrement puni, donc quiconque abuse d’un animal doit être reconnu comme un nuisible dangereux pour la société au même titre que les pédophiles!
Une émasculation des organes sexuelles devraient impérativement être réalisées sur ces personnes ,qui n’étant pas normale intellectuellement, pourraient passer a l’acte avec des enfants car ce que recherche ces personnes ce sont des êtres sans défenses qui ne pourront en aucun cas se plaindre de leurs désirs abject!
C’est aussi pour ça que les gens pensent que c’est « normal, nécessaire et naturel » (comme le dit Melanie Joy) de manger des animaux. Puisque la loi nous y autorise c’est que ce n’est pas mal, c’est sûrement parce qu’on en a besoin… Voilà le raisonnement inconscient qu’on est amené à faire. Le serpent se mord la queue.
Oh que oui, voici bien un bel exemple d’hypocrisie et de non-sens propres à notre si « belle » société qui ne recule devant aucune incohérence puisque tout le monde ( ou presque…) n’y voit que du feu!
N’oublions pas non plus le viol autorisé d’animaux dits « d’élevage » lors d’inséminations.