Saviez-vous qu’il existait des « critiques gastronomiques » ?
Au fond il n’y aurait pas vraiment de problème si cet « art », la gastronomie, n’était pas l’agonie d’autres êtres…
Comment peut-on vanter les mérites d’un métier ou d’un acte qui exigent la mort et la souffrance? Où sont la beauté et le raffinement dans la manipulation des cadavres ? Quel art morbide ! Quelle société malade!
Y a-t-il une espèce plus malade que celle qui érige en art le résultat des génocides perpétuels ?
Cette société va mal.